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Du 08/01/2002 au 03/02/2002 - ’La Forêt’ d’Ostrovski - Antony (92)

La Forêt, de Alexandre Ostrovski (traduction André Markovicz) - mise en scène Guy Pierre Couleau

Une fable drôle et cruelle écrite en 1870 par le plus grand dramaturge russe du XIXème siècle, Alexandre Ostrovski. Constamment reprise depuis sa création, elle reste à ce jour l’une des pièces les plus représentées dans les théâtres de Russie, mais encore très peu jouée en France.

Un tragédien ambulant revient après quinze ans d’absence chez sa tante, riche propriétaire terrienne, qui le croit officier, afin de récupérer l’argent qu’elle lui doit. Il décèle bientôt le mensonge dans cette petite société qu’il croyait honorable. Découvrant la véritable profession de son neveu, sa tante le chasse. Avant de reprendre sa route, le tragédien réécrira à sa façon la fin de l’histoire.

Une forêt métaphore de l’obscurantisme, de la dissimulation, du mensonge, de ce que l’on cache et négocie, de ce qui se vend et s’achète.

Du mardi 8 janvier au dimanche 3 février 2002.

- Mardi, mercredi, vendredi, samedi 20h30
- Jeudi 19h30 / Dimanche 16h30
- Samedi 26 janvier 19h - spectacle suivi d’un cabaret.

Rencontre avec l’équipe artistique les 17 janvier et 2 février à l’issue des représentations.

RESERVATIONS AU 01 46 66 02 74
Tarif spécial ARTRUSSE.COM : 80FF (12,50 euros) au lieu de 110.


La Pièce
Alexandre Ostrovski (1823-1886), écrit La Forêt en 1870 (au moment où Dostoïevski rédige Les Démons), alors qu’il est au sommet de sa gloire de plus grand dramaturge russe du XIX° siècle. Ses pièces sont jouées régulièrement dans les Théâtres impériaux et publiées dans les revues les plus importantes de son époque. La pièce paraît dans le numéro de janvier 1871 de la revue Les Carnets Patriotiques, revue à orientation libérale dirigée par N.Nékrassov. Elle sera créée sur la scène du Théâtre Alexandra le 1er novembre 1871, pour le gala de l’acteur Bourdine, qui joue le rôle du tragédien Infortunatov. La Forêt sera constamment reprise par la suite et reste à ce jour une des pièces les plus jouées dans les théâtres de Russie. La Forêt, dans son amertume lyrique et ironique, ses multiples niveaux d’action et de conscience, son jeu de métaphores, est l’une des pièces qui fondent le théâtre national russe. Parmi les mises en scène les plus marquantes, figure incontestablement celle de Vsévolod Meyerhold, en 1924 - jouée 1328 fois en treize ans.

André Marcowicz (préambule à l’édition de la pièce chez José Corti)

Extrait
Infortunatov : Comédiens ? Non, nous, nous sommes des artistes, des artistes nobles - les comédiens, c’est vous. Nous, quand on aime, on aime ; quand on aide, on aide avec nos derniers sous. Et vous ? Toute votre vie, vous ergotez sur le bien-être de la société, sur l’amour du prochain. et qu’avez-vous donc fait ? Qui avez-vous nourri ? Qui avez-vous consolé ? Vous ne faites que jouer, que vous amuser vous-mêmes. C’est vous les comédiens, les bouffons, pas nous. (...) Une jeune fille court se noyer ; qui donc la pousse à l’eau ? Sa tante ! Qui donc la sauve ? L’acteur Infortunatov !

(extrait de la scène 9 de l’acte 5 - traduit par André Marcowicz)

Résumé
"Pourquoi y sommes-nous venus, dans cette forêt, ce bois profond et sans soleil ?" Ce n’est pas Godot qui parle mais Infortunatov, acteur de province, qui, comme son compère Fortunatov, n’attend plus rien, mais observe une société qui se délite, des personnages qui hésitent. A l’attente, ont précédé le doute et la mesquinerie. Si l’auteur ne pensait pas que ces deux protagonistes de "l’infortune" seraient les héros de sa pièce, c’est sur eux que repose en définitive toute la trame de cette pièce où s’opposent les soi-disant "gens de bien" aux artistes perdus mais authentiques. Avec cette comédie grinçante où la noblesse d’âme des déchus se heurte à la bêtise des hypocrites, Ostrovski (1823-1886), dramaturge, inventeur du "théâtre de moeurs russe" a signé une pièce dont le succès ne s’est jamais démenti.

(présentation de la pièce sur le site internet de José corti)

L’histoire
Un tragédien ambulant revient après quinze ans d’absence chez sa tante, riche propriétaire terrienne, qui le croit officier, afin de récupérer l’argent qu’elle lui doit. Il décèle bientôt le mensonge dans cette petite société qu’il croyait honorable : la tante, avare et hypocrite, poursuit de sa jalousie Axioucha, nièce orpheline et pauvre qu’elle a recueillie, cependant qu’elle-même file le parfait amour avec un jeune lycéen. Découvrant la véritable profession de son neveu, elle le chasse. Le tragédien reprend sa route, abandonnant à Axioucha tout l’argent dont il dispose pour lui permettre d’épouser l’homme qu’elle aime.

Au fond d’une forêt vit une jeune fille, amoureuse d’un paysan. Par désespoir elle se jette la tête la première au plus profond de la rivière. Mais elle est sauvée par un acteur, un tragédien ambulant, sans travail et sans le sou, venu là pour une sombre histoire d’argent. Ainsi pourrait également se raconter l’histoire simple et forte de La Forêt, où tout se joue entre réalité et fiction.

Lorsque la réalité de l’existence réduit les rapports humains à des marchandages et des intrigues de convenance, l’Art - personnifié par la double figure du Tragédien et du Comédien indissociablement attachés - l’Art transforme la vie dans ce qu’elle recèle de plus profond : l’amour. Le destin des hommes appartient à l’acteur puisqu’il est seul, depuis son univers de fiction, à pouvoir influer sur la réalité du monde : changer le cours des choses lui est possible, car il peut voir au-dedans de l’enveloppe des personnes.

L’amour se vend il dans ce domaine forestier, ainsi que l’on cède une pièce de bois ? La vie humaine se distribue-t-elle ainsi qu’un acte notarié ? L’homme, cette "engeance de crocodiles"*, qui n’hésite pas une seconde à dépouiller son semblable au plus fort du dénuement, l’homme dont "les baisers sur la bouche sont des coups d’épée dans la poitrine"*, l’homme pour qui le coeur n’est qu’une marchandise valant de l’argent, cet homme-là qui se niche en chacun d’entre nous, habite une forêt épaisse et humide, noire et poisseuse. Une forêt métaphore de l’obscurantisme, de la dissimulation, du mensonge, de ce que l’on cache et négocie, de ce qui se vend et s’achète. Lieu des amours cachées comme des crimes et des vols, la forêt reste l’endroit des délices et des souffrances, des clartés et des pénombres.

Mais il existe une clarté au milieu de cette obscurité : l’Artiste. Cet orage palpitant de passion, d’amour et de générosité, l’esprit altruiste, ouvert, ce coeur ardent de sentiments regardant le monde et les humains, observant ces loups et ces brebis se déchirer à belles dents. L’acteur, l’homme libre, seul à pouvoir "ameuter tous les habitants sanguinaires de la forêt contre cette gent infernale"*.

Guy Pierre Couleau (juin 2001) *Les Brigands de Schiller

Le metteur en scène
Comme comédien, Guy Pierre Couleau a travaillé principalement avec Stéphanie Loïk de 1986 à 1991, dans L’Indien cherche le Bronx d’Israël Horowitz, Images de Mussolini en hiver d’Armando Llamas, Déroute de Fabien Tabard, Les racines de la haine de Niklas Radström, Made in Britain de David Leland, Naître coupable, naître victime de Peter Sichrovsky, Gauche Uppercut de Joël Jouanneau. Il a ensuite travaillé avec Agathe Alexis dans Renée d’Emile Zola, Le Retable des damnés de Francisco Nieva, avec Daniel Mesguich dans Boulevard du boulevard de Gaston Portail (3 reprises), Titus Andronicus de Shakespeare, Marie Tudor de Victor Hugo, La seconde surprise de l’amour de Marivaux, Hamlet de Shakespeare et Dom Juan de Molière, et avec Thierry Vincent pour Les caprices de Marianne de Musset. Parallèlement, il met en scène en 1994, Le Fusil de chasse de Yasushi Inoue au Théâtre de l’Atalante, repris en 1995 au Théâtre du Temps.
- En 1995 et 1996, il met également en scène Vers les cieux , pièce inédite d’Ödon von Horvath au Théâtre de l’Atalante et Le Neveu de Rameau au Lavoir Moderne Parisien.
- En 1998, il met en scène Netty d’après d’Anna Seghers à l’hôtel la Mirande à Avignon et Déjeuner chez Wittgenstein de Thomas Bernhardt au Théâtre de l’Echange, Pont-Scorff puis au Théâtre du Ranelagh ; ce spectacle a donné lieu à une centaine de représentations.
- En 1999, il crée Le Baladin du Monde occidental de John M. Synge, au Moulin du Roc - scène nationale de Niort. Ce spectacle compte plus de 120 représentations et a fait l’objet de deux reprises à Paris (Lavoir Moderne Parisien puis Théâtre 13). Toujours en 1999, il crée la Compagnie des Lumières & des Ombres qui devient associée au Moulin du Roc pour trois saisons, où il crée ses spectacles en résidence. Depuis 2001, la Compagnie est conventionnée avec le Ministère de la Culture / DRAC Poitou-Charentes.
- En avril 2000, il crée Le Paradis sur Terre de Tennessee Williams puis Pantin, Pantine de Romain Didier et Allain Leprest pour l’Ecole de Musique de Massy Palaiseau.
- Il reçoit le prix " Coup de Cœur " de l’Adami pour son projet de diptyque Le Sel de la Terre constitué de Regarde les fils de l’Ulster marchant vers la Somme de Frank Mac Guinness et de Asservies de Sue Glover. Le Sel de la Terre a été créé en mars 2001 au Moulin du Roc et repris au Festival In d’Avignon la même année.
- En juin 2001, il retrouve Le Théâtre National de Lettonie pour la création de Nous les Héros de Jean-Luc Lagarce. Depuis 1994, il met régulièrement en scène les comédiens de la troupe du Théâtre National ; Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas en 1994, et L’affaire de la rue de Lourcine d’Eugène Labiche, en 1996.

Les acteurs

Emmanuelle Grangé
Après une formation à L’Ecole Supérieure d’Art Dramatique du T.N.S. sous la direction de Jean-Pierre Vincent, elle a travaillé au théâtre avec André Steiger, Patrick Guinand, Jean-Marie Patte (La comédie de Macbeth, Crépuscules, Titre Provisoire) , Alain Knapp, Christian Collin, Manfred Karge et Mathias Langhoff ( La Cerisaie), Jean Paul Wenzel ( La Maison Tellier d’après Maupassant), Jacques Lassalle ( La Clé de Labiche), Jacques Nichet ( Le rêve de d’Alembert d’après Diderot, Le triomphe de l’amour de Marivaux), Gilles Gleizes, Jean Jourdheuil et Jean François Peyret ( Hamlet machine, Quartet, Paysages avec Argonautes de H. Müller), Michel Dubois, Christian Caro ( La fin d’un monde ou presque, Le simple et la statue)., et Guy Pierre Couleau ( Asservies de Sue Glover), Gilberte Tsaï (Noces de bambou, La Nuit Blanche d’après Arlette Fage). Pour la télévision elle a travaillé avec René Allio (Un Médecin des Lumières) etSerge Lalou (Entre nous ).

Anne Le Guernec
Après une formation au Cours Florent et avec Jean Claude Buchard au Cours l’Entrée des Artistes, elle travaille avec Jean Luc Moreau (Dom Juan de Molière), Stéphanie Loïk (Gauche-Uppercut de Joël Jouanneau), Barbara Boulay (Je ne suis pas toi de Paul Bowles), Margarita Mladenova et Ivan Dobtech (La Cerisaie de Tchékov, programmé au festival d’Avignon en 1996), Marcela Salivarova ( Les Présidentes de Schwab, création au Théâtre National de Chaillot), François Kergourlay (L’art de la Comédie d’Eduardo de Filippo), Jeanne Moreau (Un trait de l’esprit de Margaret Edson), Guy Pierre Couleau (Le Fusil de Chasse de Yasushi Inoué, Vers les Cieux de O. Von Horvath, Le Baladin du Monde Occidental de J.M Synge). Au cinéma, elle a travaillé sous la direction de Serge Gainsbourg ( Charlotte for ever), de Jean Becker (Les enfants du marais). Pour la télévision, elle vient d’achever le tournage d’un épisode de L’Instit ( La main dans la main ).

Karin Palmieri
Formée au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, elle travaille au théâtre avec Jacques David (Journée de Noces chez les Cromagnons, Peepshow dans les Alpes), Stuart Seide (La tragédie de Macbeth de W. Shakespeare, Le Régisseur de la Chrétienté), Frantz Herman (L’Affaire Jessica Hair ). Au cinéma, elle a travaillé sous la direction de Philippe Harel (Extension du domaine de la lutte) et Jean Louis Benoit (La mort du Chinois).

Philippe Mercier
Comédien depuis 1957, principalement à la Comédie de l’Ouest, au Théâtre de Bourgogne et au Théâtre national de Strasbourg. En 1972 il s’installe à Paris et travaille notamment avec Jorge Lavelli, Jacques Seiler, Peter Brook, Christian Schiaretti, Guy Pierre Couleau et Philippe Berling. En 1978, il fonde le Théâtre du Pont Neuf. Il a signé une dizaine de mises en scène dont au Théatre National de Chaillot : Honorée par un petit monument de Denise Bonal, au Théâtre de l’Athénée : Passagères de Daniel Besnehard, au Théâtre de l’Odéon : Tchékoslovaquie 84 et Veillée irlandaise de Robert Maguire et au Théâtre de la Colline : Le Cheval de Balzac de Gert Hofman.

Pascal Durozier
Issu d’une famille de Théâtre ambulant, formé en travaillant dans différentes troupes du sud de la France. A Paris, il rencontre Monica Pagneux et Jacques Lecoq. En 1987, il est engagé par Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil pour Les Atrides et L’Indiade d’Hélène Cixous. Il travaille également avec Maurice Durozier pour Brûleurs de planches, C. Rauck (La Nuit des Rois de Shakespeare), Serge Lipszyc (Ivanov de Techekhov), et Guy Pierre Couleau pour Le baladin du monde occidental de J.M. Synge et Regarde les Fils de l’Ulster marchant vers la Somme de Frank Mac Guinnes)

Laurent Huon
Il a travaillé notamment avec Maurice Bénichou (L’Atelier de Grumberg), avec André Engel (Dell’Inferno), avec Robert Hossein (Jésus était son nom), avec Christian Benedetti (Les Bosniaques au Théâtre de La Colline), avec Jorge Lavelli (Opérette de Gombrovitz), avec Pascal Antonini (Vous allez tous mourir et pas moi, Terre de Jeux et La Dispute), avec Guy Pierre Couleau (Le baladin du monde occidental de J.M. Synge et Regarde les Fils de l’Ulster marchant vers la Somme de Frank Mac Guinnes)

Michel Fouquet
Après une formation de technicien cinéma, il travaille au théâtre avec J-M Mesmin, (L’ouest, le vrai de S.Shepard, Jacky Parady de J.M Ribes, Les bons bourgeois de R. De Obaldia, Le loup-garou de R. Vitrac), D. Meunier (Fool for Love de S. Sheppard), C. Benedetti (Liliom de F. Molnar, Ivan le terrible d’après Eisenstein, Woyzeck de G. Büchner, Sauvés de E. Bond), Gilles Daho (Tatouage de D.A. de Dea Loher, La défunte de N. Rodriguez, Adam Geist de Dea Loher ), D. Dolmieu (Les arnaqueurs, Les trois chardons, Les tâches sombres de M.Chero), et Guy Pierre Couleau (Regarde les Fils de l’Ulster marchant vers la Somme de Frank Mac Guinnes). Michel Fouquet est aussi comédien associé au projet du Théâtre-Studio d’Alforville.

Alexandre Lachaux
Après une formation au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, il travaille avec Daniel Mesguich (Le Diable et le bon Dieu de JP Sartre), Hans Peter Cloos (Richard III de W. Shakespeare), Laurent Schneider (Qui n’a pas son minotaure ? de Marguerite Yourcenar, La Femme qui a raison de Voltaire, Intermezzo de Jean Gireaudoux), et Annie Lavedan (Le Barbier de Séville de Beaumarchais, Antigone de Sophocle).

Thomas Nedelkovitch
Formé à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique du TNS, il a travaillé au théâtre avec Etienne Pommeret (Atelier Jacob Lenz, créé au TNS), Elisabeth Chailloux (La vie est un songe de Pedro Calderon de la Barca), Guillaume Delaveau (Peer Gynt de Henrik Ibsen), Bernard Sobel (Manque de Sarah Kane), Richard Mitou (Du sang sur le cou du chat de R.W. Fassbinder), Michel Touraille (Les chaises de Eugène Ionesco).

Michel Debrane
Comédien depuis 1947, il a interprété un grand nombre de rôle du répertoire classique avec la Cie Jean Deninx. Plus récemment, il a travaillé avec Philippe Asselin (Prométhée enchainé d’Eschyle, Iphigénie en Tauride d’Euripide, Don Juan ou la naissance des larmes de Phillipe Asselin, La Double Inconstance de Marivaux, Les Cloches de Bâle d’Aragon), Daniel Mesguich (Platonov de Tchékhov, La Dévotion à la croix de Calderon), Gilbert Langlois (Les Burgaves de Victor Hugo, La Belle et la Bête de Michel Vitoz), Olivier Besson (L’intruse de Maurice Maeterlinck). Pour le cinéma et la télévision il a aussi travaillé avec de nombreux réalisateur ; Rossellini (Louis XIV), Pierre Prévert (Les Rois de la Cloche, Les Compagnons de Baal), André Téchiné (Pauline), Jean Kerchbron (Léonce et Léna, Président Faust, Les Beaux quartiers), Fina Torres (Mécaniques Célestes), Nina Companeez (La grande cabriole, Pique-nique d’Osiris).

Jacques Elkoubi
Formé au Conservatoire National de Créteil et cours Florent, Jacques Elkoubi mène parallèlement une carrière de comédien, de chanteur et de danseur. Au théâtre il a travaillé avec Patrick Haggiag (La trilogie du revoir de Botho Strauss, création au Théâtre de Gennevilliers), J.F Cuny (Adrien roi de cœur de L. Tourlour, Un jour mémorable pour le savant Monsieur Wu, farce chinoise du 17ème siècle), Alain Knapp (Escurial de Ghelderode), Alain Souchère (Les Troyennes d’Euripide, création à la Maison des Arts de Créteil). Il a aussi collaboré avec Giovanna Marini en tant que chanteur et avec la Cie Kol Aviv (folklore juif) en tant que danseur.

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