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Valery Gergiev n’était pas revenu au Festival de Saint-Denis depuis 1997, appelé à diriger l’orchestre du Met à New York et la Philharmonie de Vienne, tout en assurant la saison du Kirov à Saint-Pétersbourg... Le rendez-vous a été pris avec son Orchestre de Rotterdam, l’un des meilleurs en Europe et dont se parlent les chefs entre eux, pourtant si discret en France...
Un moment qu’on attendait de pouvoir le retrouver dans la Basilique ! Valery Gergiev n’était pas revenu au Festival depuis 1997, appelé à diriger l’orchestre du Met à New York et la Philharmonie de Vienne, tout en assurant la saison du Kirov à Saint-Pétersbourg... Le rendez-vous a été pris avec son Orchestre de Rotterdam, l’un des meilleurs en Europe et dont se parlent les chefs entre eux, pourtant si discret en France... Le programme reste pour le moins inattendu pour Gergiev, spécialiste de la redécouverte du répertoire russe, et là encore, ce sera une première en France : une 9e de Mahler, dernière symphonie déchirée et déchirante d’un compositeur intense et monumental. D’une telle rencontre entre un chef-d’œuvre aux mille facettes et un grand chef aussi secret, à l’inspiration toujours libre et imprévisible, on peut tout attendre. Le suspens est entier et la confiance totale. Un sommet musical. Mahler Symphonie n°9 Orchestre Philharmonique de Rotterdam Basilique
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