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Adaptation du conte ’Vassillissa la belle’ d’Afanassiev par le teatro delle briciole (Italie). Vassillissa, petite cendrillon russe, incarne ce passage de mère à fille, d’une génération à l’autre, du pouvoir féminin de l’intuition, symbolisée par la poupée que la fillette a toujours dans la poche.
Un chemin initiatique poussant une fillette à surmonter une série d’épreuves pour trouver la lumière... Il était une fois et une fois il n’était pas... Ainsi commence le conte russe d’Afanassiev, Vassillissa la belle, qui a inspiré cette pièce à Bruno Stori ; soit les mésaventures de la petite Vassillissa maltraitée par sa belle-mère et ses affreuses filles qui l’envoient chez Baba Yaga pour y quérir du feu. La petite devra accomplir quatre tâches pour la vieille sorcière, laide et exigeante mais pas si méchante. Heureusement, la mère de la fillette, avant de mourir, lui a donné une poupée magique qui l’aidera toujours. Vassillissa est l’histoire du passage de mère à fille, d’une génération à l’autre, du pouvoir féminin de l’intuition, symbolisée par la poupée que Vassillissa a toujours dans la poche. Spectacle plein de tendresse pour les petits, La Poupée dans la poche est une grande leçon donnée aux adultes. Elle leur montre les angoisses de l’enfance, ses peurs. Tout en conviant à un exceptionnel moment d’intimité.
Mercredi 23 avril à 14h30 et 19h30 THEATRE 71 de MALAKOFF
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